"http://fr.wikipedia.org/wiki/Mercantilisme"
"www.universalis.fr/encyclopedie/mercantilisme/1-les-economistes-de-la-periode-mercantiliste/”
"http://aygosi.pagesperso-orange.fr/AuteursEconomiques.html"
-Joseph Schumpeter (fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Schumpeter)
Il fut fortement influencé par les écrits du sociologue allemand Max Weber. Et, s'il a partagé certaines conclusions avec Karl Marx, son analyse était très éloignée du marxisme. On en fait en général le fondateur de l'évolutionnisme économique. Il est ainsi répertorié dans le cercle des économistes dits « hétérodoxes ».
Schumpeter met en avant le rôle majeur des innovations dans l'impulsion, la mise en mouvement de l'économie sous l'action de l'entrepreneur. C'est par la fabrication de produits nouveaux, l'adoption de procédés et de techniques inédits, l'utilisation de nouvelles matières premières ou l'ouverture de nouveaux débouchés que les structures finissent par changer.
Niccolò Machiavelli (Niccolò di Bernardo dei Machiavegli), en français Nicolas Machiavel, est un penseur italien de la Renaissance, philosophe, théoricien de la politique, de l'histoire et de la guerre, né le 3 mai 1469 et mort le 21 juin 1527 à Florence, en Italie.
Machiavel a donné en français naissance à plusieurs termes : « machiavélisme » et ses dérivés, qui font référence à une interprétation politicienne cynique de l’œuvre de Machiavel et « machiavélien » qui fait directement référence aux concepts développés par Machiavel dans son œuvre.
Giovanni Botero (né en 1544 à Bene Vagienna, Piémont, mort en 1617 à Turin) est un penseur politique et homme de lettres italien.
La première partie de sa vie se déroule dans le cadre des collèges de la Compagnie de Jésus, d'abord comme élève (dès 1559 au moins) puis comme professeur de rhétorique et de philosophie dans plusieurs collèges italiens et français. D'un caractère réputé difficile, il entretient des rapports conflictuels avec la hiérarchie jésuite, jusqu'à être exclu de la Compagnie en 15801.
Il devient le protégé du puissant cardinal archevêque de Milan, Charles Borromée, puis son « premier secrétaire » à partir de 1582. C'est alors que commence sa carrière d'auteur.
Après la mort du cardinal (1584), il entre au service de Charles-Emmanuel Ier de Savoie, qui l'envoie pour une mission diplomatique secrète en France, en compagnie de René de Lucinge, l'ambassadeur officiel du Piémont, dans le but probable de nouer des contacts avec la Ligue à Paris. Botero y reste la majeure partie de l'année 1585.
À partir de 1586, il entre au service du cardinal Federico Borromeo, le jeune cousin de Charles. À Rome, il le servira jusqu'en 1598, d'abord comme précepteur, puis comme conseiller, secrétaire ou encore envoyé diplomatique.
Consulteur de la congrégation de l'Index dès 1587, Botero devient à plein titre un homme de la curie romaine, où son jeune protecteur Frédéric Borromée est nommé cardinal en 1588. C'est là qu'il conçoit et écrit les trois œuvres qui le rendent vite célèbre: Des causes de la grandeur des villes (Delle cause della grandezza delle città, 1588), De la raison d'État (Della ragion di stato, 1589, mais 1598 pour la version définitive), Les Relations universelles (Le Relazioni universali, 1591-1596).
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_de_Montchrestien#L.E2.80.99.C3.A9conomiste)
Pour accroître la richesse de la nation, il fait l’apologie du travail – obligatoire en l’occurrence – ainsi que, fait nouveau, de l’industrie et du commerce à côté de l’agriculture. Il s’agit toujours d’enrichir l’État, mais par le développement industriel. L’État doit donner l’exemple en créant de grandes activités telles que des manufactures. Il prône également l’intervention de l’État pour réglementer les professions, créer des manufactures et élaborer une politique douanière qui défende les intérêts du pays. Montchrestien est protectionniste pour les denrées produites en quantité suffisante tandis qu’il est libre-échangiste pour celles dont manquent un pays à condition que celui-ci travaille suffisamment pour pouvoir se les payer. Il préconise la division du travail, accepte la richesse, s’élève contre la prodigalité mais accepte une certaine mesure de luxe. Il préconise la concurrence comme stimulant nécessaire à l’industrie.
-Barthélemy de LAFFEMAS (France, 1545-1612)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Barth%C3%A9lemy_de_Laffemas
Barthélemy de Laffemas est un économiste français, né à Beausemblant (Drôme) en 1545 et mort à Paris, peut-être en 1612 (certains disent le 23 septembre 1611, d'une chute de cheval1).
Il prôna le mercantilisme et encouragea le développement du commerce et des manufactures
Le libre-échange
L’accumulation et la croissance
Le marché et la « main invisible »
La division du travail
La nature de la richesse